Du 22 au 25 mai a lieu l’extravaganza du marketing, de l’innovation et du réseautage, le C2 Montréal.
Pour les non initiés, imaginez une série de conférences et d’ateliers créatifs se déroulant en plein milieu d’un party chez Guy Laliberté.
L’équipe de porte-monnaie a bien apprécié l’édition 2018 et on ne vous cachera pas qu’on a hâte d’y retourner.
Or, si l’évènement réunissant plus de 100 conférenciers et 6500 participants n’a aucune difficulté à écouler ses billets, il attire également son lot de détracteurs.
À l’aube de cette grand-messe inspiro-créativo-chic, Richard Saint-Pierre, le PDG de C2, a courageusement accepté notre invitation à répondre aux plus cinglantes critiques que l’on a recueillies.
«L’évènement ne pourrait pas exister sans influenceurs sur Instagram»- Gabrielle
Richard Saint-Pierre: On a été accusés d’être élitistes et de ne promouvoir que des personnalités connues sur nos réseaux sociaux tandis qu’en réalité, on compte beaucoup de visages peu connus parmi nos conférenciers.
Cette année, on veut démocratiser ce qui se passe à l’évènement sur plusieurs plateformes, Linkedin, Twitter, Facebook, en diffusant en direct et gratuitement des ateliers et des conférences.
«C2, c’est plus une occasion de faire du réseautage que de réel apprentissage»-Éric
Richard Saint-Pierre: Il y a environ 235 ateliers et laboratoires pendant l’évènement. C’est donc plusieurs dizaines de personnes qui travaillent ensemble pour créer du contenu pour les participants.
J’ai déjà reçu plusieurs témoignages de gens qui m’ont dit que C2 avait changé leur vie. Certains avaient quitté leur emploi pour réaliser leur rêve après avoir été inspirés à C2. Alors non, ce n’est clairement pas que du réseautage.
«Les conférences sont parfois un peu n’importe quoi au nom de la créativité»-Carl
Richard Saint-Pierre: La créativité implique d’explorer les limites du possible et ça peut prendre plein de formes. Ce qu’on cherche à faire, c’est carrément toucher et changer les perceptions des gens sur certains sujets.
Pour faire ça, il faut utiliser tous les outils nécessaires même si ça peut paraître exubérant.
«Les billets sont beaucoup trop chers pour ce que c’est»- Pierre-Olivier
Richard Saint-Pierre: Depuis la première édition, l’une des missions qu’on s’est données est de rendre l’évènement abordable. Mais pour avoir une expérience comme celle qu’on offre, avec des installations dernier cri et un panel de conférenciers varié, il y a un prix à payer.
Par rapport aux grandes conférences internationales, le prix d’entrée pour C2 est pas mal moins dispendieux.
Aussi, il faut savoir que l’on offre des prix ajustés à différents partis représentés. Par exemple, nous avons un tarif pour les étudiants et pour les OBNL et on donne des centaines de billets à plusieurs organismes pour permettre au plus de gens possible d’assister à l’évènement.
«Les répercussions économiques sont sûrement minimes»-William
Richard Saint-Pierre: On parle de 190$ millions en retombées économiques pour le Québec grâce à C2. En termes d’emplois créées, c’est plus de 1732 travailleurs à temps plein.
Des compagnies québécoises bien connues comme Frank and Oak et BonLook ont développé des liaisons d’affaires importantes pour leur entreprise à l’occasion de l’évènement.
Pour moi, ces histoires justifient l’existence de C2.
Porte-monnaie est de retour à l’évènement cette année. N’oubliez pas de nous suivre sur Facebook et Instagram pour ne rien manquer!
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